MENUMENU
Prejuges, des cailloux dans nos vies de femmes.
Ainsi, hier, je regardais pour la toute premiere fois (si tard), l’un des celebres TED Talk de l’auteur nigeriane Chimamanda NGOZI ADICHIE. Cette description faite en 2012 reste intitulee “Nous sommes tous feministes”.
Voir ce message d’une trentaine de minutes a renforce la perception dans claque que quelque chose ne va nullement. En effet, individu fut construit par les hommes, pour des hommes et ceci pourrait pouvoir cesser. Les prejuges sont puissants, banaux. Ils s’observent dans les plus petites choses, ainsi, comme le souligne Chimamanda, ce sont ces petites trucs, qui font le environ mal. Durant le allocution, cette dernii?re en liste un certain nombre. Pour cet article, J’me suis essayee a faire ma petite liste, sur votre base du vecu de femme au Cameroun, en Afrique et au monde.
Cette affirmation et celles qui l’accompagnent (une soeur devra se marier, etc..) seront de celles avec lesquelles j’ai grandi. Toutefois, j’ai toujours eu de la peine a des comprendre et les accepter. En effet, lorsqu’on crois a la responsabilite qu’incombe claque de devenir maman, comment peut-on affirmer que c’est un acte bio? Avoir un enfant, Afin de une copine comme pour 1 homme, c’est etre en mesure de l’eduquer, le nourrir, l’accompagner. Comment pourrions-nous affirmer que concernant le chemin complexe en life, etre pere ou mere pourrait i?tre autre chose qu’un panel?
J’ai des amies qui ne souhaitent pas etre meres. Ainsi, j’ai parfois entendu parler de jeunes filles steriles et qui ne souhaitent jamais adopter. On a tous dans les familles, au moins-ce une tata, libre, sans bambins et epanouie.
Pour autant, etre mere est passe du prejuge a 1 attribut “normal” d’la soeur. Les ecrits religieux (Bible, Coran), les legendes traditionnelles (Ge, Mere de la Terre) ont renforce cette verite toute faite. Je ne parlerai meme pas de la culture dans nombreuses tribus de par un chacun, ou les femmes steriles sont considerees comme des porteuses du mal.
J’habite mere, malgre tout, j’suis heureuse de pouvoir dire que c’est UN EVENTAIL. La naissance de ma petite princesse n’etait jamais pour rentrer dans un rang.Pourtant, malgre ce choix, j’dois subir l’expression des prejuges. Les phrases telles que “enfin adulte”, “tu rentres dans la vraie vie” paraissent legion.
Il semble triste de savoir qu’une copine va etre souvent definie en fonction de sa progeniture. Sans le rite initiatique en maternite, une femme ne pourrait i?tre donc gui?re femme?
Voici un des prejuges particulierement derangeant et assez specifique (quoique jamais juste) d’une certaine tradition africaine. Il est important de mentionner le “pas seulement” car lorsqu’on entend des histoires sur l’existence des femmes dans certains des pays ou reste appliquee Notre Charia, on peut s’inquieter.
Pour revenir a la realite, j’ai entendu cette phrase votre nombre incalculable de fois. Chaque fois qu’en tant que cousine (ou etre humain), tu aspires a l’autonomie, l’entourage te le rappelle. Ces rappels seront de bien ordre: amie, ami, oncle/tante, superieur hierarchique, dragueur, etc.. Il semblerait que dans notre societe, la femme ne puisse gui?re vivre seule. Parcontre, les jeunes hommes des la fin de l’universite paraissent largement encourages a quitter le giron familial. Chez les femmes, on arguera d’une faiblesse, parfois d’une mauvaise image, ainsi, bien evidemment le mari.
Notre mariage reste ce sesame, passeport pour l’existence adulte, tout comme la maternite. En somme, etre adulte Afin de la femme, c’est passer d’une tutelle a une nouvelle. Etrange. Pour avoir pense ceci, J’me suis faite traiter d’occidentale. Vouloir s’assumer sans homme serait en realite un affront a l’ordre etabli.
On suppose (prejuges bien) que toute femme aspire au mariage. Au-dela de ca, on pense qu’elles seront toutes faites Afin de ceci et doivent s’y preparer. Une femme qui possi?de reussit c’est une femme avec enfants et mari. Un homme qui reussit c’est d’abord une carriere fulgurante et accessoirement une vie de famille inspirante. Pourquoi?
Pis, le simple fait d’ecrire ces mots, me rangeraient pour bon nombre au camp de celles qui s’opposent au mariage. Prejuges bien.
Si on crois a ca, on doit aussi affirmer a “Bavarde tel une pie”. Personnellement, je suis souvent qualifiee de bavarde, et d’aucuns en parcourant ce propos qui tire deja a 751 mots, me diront aussi et ici que je bavarde.
A l’homme qui s’exprime en public, on associe l’eloquence. A la femme, on associe le bavardage, voire aussi le commerage. Comme quoi, ces dames seraient celles qui colportent nos fausses nouvelles. Ce pourrait i?tre inne, inscrit dans les ADN. Interessant.
Au monde professionnel, ceci devient plus pregnant. On dira de votre chef dont le caractere la rend passionnee qu’elle bavarde. A contrario, l’homme qui “hurle” va etre considere tel ayant d’une poigne. Tout i§a suppose encore que la femme ait brise le plafond de verre.
Bavardages, Cuisines, Femmes, Discours, Conversations, Bureau, Homme. Les prejuges pointent leur nez.
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