THỨ TƯ,NGÀY 22 THÁNG 4, 2020

Un jour, aussi qu’il etait age de vingt-huit annees, le prince Siddhattha, sortit a l’exterieur du palais Afin de se rendre dans le somptueux jardin royal de Kapilavatthu.

Bởi Nguyễn Hoàng Phong

Cập nhật: 21/09/2022, 11:04

Un jour, aussi qu’il etait age de vingt-huit annees, le prince Siddhattha, sortit a l’exterieur du palais Afin de se rendre dans le somptueux jardin royal de Kapilavatthu.

Le convoi qui le conduisit aupres du jardin se constituait de quatre chevaux, d’la princesse, d’un cocher qui dirigeait nos chevaux, de soldats ainsi que quelques membres de la cour. Un deva d’la sphere Tusita (quatrieme sphere), vit que moyen approchait concernant le prince Siddhattha de renoncer a l’existence princiere pour partir dans la foret. Juste avant que la diligence ne penetrat dans le jardin royal, ce deva fit apparaitre le premier des quatre grands indices. Cela crea votre vieillard bien edente, les cheveux blancs, la peau fripee, ridee de toutes parts, le dos courbe. Cela tremblait en se tenant dans sa canne. Tres age et l’apparence usee, le vieillard se dressait devant l’entree du jardin. Le deva fit de telle manii?re que seuls, le prince et le cocher puissent l’apercevoir. Notre prince, qui n’avait jamais car des jeunes personnes, fut tres surpris avec cette vision. Choque, il s’enquit aupres du cocher :

« Ses cheveux ne sont nullement comme ceux des autres ; ils paraissent bien blancs.

le corps n’est pas non plus comme celui des autres ; il semble use et son dos est bien courbe. Toutes ses dents seront tombees. Cela parait n’avoir plus que la peau sur les os. Il tremble de toutes parts. Qui est-ce ?

— C’est 1 vieillard. Un individu parvenue a J’ai vieillesse.

— Auparavant, je n’avais vu d’individus aux cheveux blancs (il repeta toute sa description), ainsi, n’en avais jamais entendu parler, non plus. Comment se fait-il qu’il soit ainsi ? Expliquez-moi !

— Quand notre vie arrive a une certaine duree, on devient comme cela, bien l’organisme deperit.

— Moi aussi, serai-je inevitablement ainsi, 1 jour ?

— Tous les etres vieillissent ainsi. Le fait d’avoir un corps amene inevitablement a connaitre la vieillesse.

— Je pourrais donc connaitre moi aussi la vieillesse. J’habite si bouleverse que ne souhaite plus aller au jardin. Faites demi-tour et rentrons au palais ! »

La vision de pallier des quatre grands indices provoqua chez le jeune prince une profonde prise de conscience. Cela demeurait epouvante a l’idee qu’il connaitrai irremediablement la vieillesse. Etonne de voir la diligence si vite revenir au palais, le roi interrogea le cocher :

« Comment se fait-il que vous ne soyez jamais restes au jardin royal ?

— Le prince n’a meme gui?re voulu y penetrer tant Cela reste bouleverse, Sire.

— Qu’a-t-il bien pu le bouleverser ?

— Il a apercu 1 vieillard, Sire. »

Le roi comprit aussitot votre que le fils a du ressentir au contact de cette vision. Tres soucieux a l’idee qu’il puisse lire les trois autres signes, le monarque fit elargir d’une seconde distance, depuis laquelle on ne est en mesure de plus entendre une vache meugler, le perimetre vierge de bien facteur susceptible de lui (au prince) Realiser consulter l’un de ces trois autres signes. Il fit egalement multiplier nos rejouissances et nos distractions ethiopia personals dont disposait deja le fils Afin de tenter d’effacer sa desillusion.

Notre malade

Quatre mois plus tard, ayant de nouveau le desir de se rendre au jardin royal, le prince Siddhattha fit atteler la diligence princiere et se mit en chemin, escorte de soldats ainsi que quelques membres d’une cour. Juste avant que la voiture ne penetrat au jardin, le deva (celui qui fit apparaitre le premier des quatre grands indices) fit apparaitre le deuxieme des quatre grands signes. Cela crea un malade, la peau recouvert de pustules, ronge par la maladie baignant lamentablement dans ses propres excrements et urines. Il n’avait gui?re la force de se lever, ni de s’allonger tout seul. Profondement marque par la douleur, l’apparence cadaverique et vide de sante, le malade se tenait devant l’entree du jardin. Le deva fit de telle manii?re que seuls, le prince et le cocher puissent l’apercevoir. Le prince, qui n’avait jamais vu que des personnes en pleine sante, fut tres surpris par cette vision. Choque, il s’enquit aupres du cocher :

« le regard de une telle personne ne semblent pas comme ceux des autres. Ils demeurent ternes et a peine entre-ouverts. Sa voix non plus n’est jamais comme celle des autres. Cela gemit comme s’il est continuellement en proie a Notre douleur. A l’inverse des autres individus, il parai®t etre condamne via une immense faiblesse. Qui est-ce ?

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